L'HIVER : vu par les poètes.....
GRACE AUX POETES, L'HIVER DEVIENT UNE BELLE SAISON!
HIVER,
Un poème de Serge LAINE
Un matin au réveil, en ouvrant ma fenêtre,
Je découvre l'hiver apparaissant en maître;
A travers la brume, de gros flocons voltigent,
C'est la neige qui tombe et garde son prestige.
Je ne distingue plus les maisons et les champs
Car ils sont recouverts d'un très grand manteau blanc;
Tout n'est que tristesse, calme et désolation,
Je ressens en mon être une vive émotion.
Où sont la pâquerette et le coquelicot
Qui recouvraient les champs et se miraient dans l'eau?
Un paysan s'attarde à dégager la porte;
On n'entend plus un bruit, car toute vie est morte.
Loin dans la montagne, loin des gens de nos villes,
De très vieux paysans passent des jours tranquilles;
Assis tout près d'un feu, ils regardent les flammes
Dansant dans le foyer avec beaucoup de charme.
Les pieds emmitouflés dans des chaussons de laine,
Lisant ou tricotant, ils sont bien loin des peines.
A quelques lieus de là, sur la piste enneigée,
Des skieurs évoluent dans le calme et la paix.
Cette triste saison fait la joie des enfants
Qui s'amusent, joyeux, aux beaux milieux des champs.
Un matin au réveil en ouvrant ma fenêtre,
Je découvre l'hiver apparaissant en maître;
A travers la brume, de gros flocons voltigent,
L'hiver est arrivé avec tout son prestige.
Pas un soupir, pas un souffle,
Tout s'étouffe et s'emmitoufle
De silence recouvert....
C'est la paix froide et profonde
Qui se répand sur le monde,
La grande paix de l'hiver.
(Francis Yard)
HIVER,
Un poème de Serge LAINE
Un matin au réveil, en ouvrant ma fenêtre,
Je découvre l'hiver apparaissant en maître;
A travers la brume, de gros flocons voltigent,
C'est la neige qui tombe et garde son prestige.
Je ne distingue plus les maisons et les champs
Car ils sont recouverts d'un très grand manteau blanc;
Tout n'est que tristesse, calme et désolation,
Je ressens en mon être une vive émotion.
Où sont la pâquerette et le coquelicot
Qui recouvraient les champs et se miraient dans l'eau?
Un paysan s'attarde à dégager la porte;
On n'entend plus un bruit, car toute vie est morte.
Loin dans la montagne, loin des gens de nos villes,
De très vieux paysans passent des jours tranquilles;
Assis tout près d'un feu, ils regardent les flammes
Dansant dans le foyer avec beaucoup de charme.
Les pieds emmitouflés dans des chaussons de laine,
Lisant ou tricotant, ils sont bien loin des peines.
A quelques lieus de là, sur la piste enneigée,
Des skieurs évoluent dans le calme et la paix.
Cette triste saison fait la joie des enfants
Qui s'amusent, joyeux, aux beaux milieux des champs.
Un matin au réveil en ouvrant ma fenêtre,
Je découvre l'hiver apparaissant en maître;
A travers la brume, de gros flocons voltigent,
L'hiver est arrivé avec tout son prestige.
Pas un soupir, pas un souffle,
Tout s'étouffe et s'emmitoufle
De silence recouvert....
C'est la paix froide et profonde
Qui se répand sur le monde,
La grande paix de l'hiver.
(Francis Yard)